Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (7) : Nouveau « Complot » Et Ultime Résistance.
Je poursuis le récit de mon long et finalement vain combat contre les tentations candaulistes de mon mari Philippe afin que je revienne à mon hypersexualité.
Après ce qui sétait passé avec Georges, le concierge, et son fils, dans ce parking, je vivais de plus en plus mal ma situation. Je persistais malgré tout dans ma volonté de refuser de retomber dans mes excès davant ma rencontre avec Philippe, et donc daccéder aux désirs candaulistes de celui-ci.
Dans limpasse.
Jétais dans une impasse totale : inactivité en journée, peu de relations sociales du fait de ma réputation et de ma peur de céder aux tentations, un mari adorable, amoureux fou, mais qui ne mapportait pas tout le plaisir que jattendais, en tout cas au moment de la pénétration et qui, au surplus, ne cessait de mencourager à prendre un amant et à satisfaire ses envies candaulistes. Jaurais voulu devenir maire, mais je ne parvenais pas à être enceinte. Heureusement, je ne lavais pas été à la suite de la séance dans ce sinistre parking avec Georges.
En plus, la liaison saphique que javais entretenue avec ma masseuse thaïlandaise Agun avait pris fin, celle-ci étant retournée dans son pays, malgré mes prières, car, pour la première fois jétais tombée amoureuse dune femme.
Jétais dans une impasse complète, au point que cest lépoque où je me suis à consulter une psychanalyste, auprès de laquelle jai appris beaucoup de choses sur mon enfance et le comportement que javais eu avec mes parents et qui avait été pour beaucoup dans mon hypersexualité, que jessayais maintenant de réprimer à tout prix ;
Tout cela désespérait aussi Philippe. Je ne veux pas quon puisse penser que celui-ci nest quun pervers, uniquement préoccupé de réaliser avec moi ses fantasmes candaulistes. Certes, ce fantasme est au plus profond de lui-même, il avait fait échouer ses deux précédents couples avec Flavienne et Patricia. Certes encore il avait tout organisé pour me faire tomber pendant ma nuit de noces et nétait que partiellement parvenu à ses fins, puisquil avait dû se contenter découter derrière la porte, sans être autorisé à assister à mes ébats avec son témoin et ami Pierre.
Aujourdhui, je le remercie de son amour et de son insistance, il a fait mon bonheur et me rend heureuse.
Pourtant, après « lincident Georges », nous étions dans limpasse totale et nous y sommes restés près de deux ans. Jai même exigé de Philippe quil arrête de me parler de ces choses, y compris pendant nos ébats et nos pratiques sexuelles. Plus que jamais, celles-ci étaient tournés vers des fellations fréquentes, pour que je puisse me « nourrir » de sa semence, de fist-fucking où je voulais quil pousse toujours plus loin son avant-bras dans mon vagin et de pratiques sado-maso, où je réclamais de sa part des coups de fouet toujours plus nombreux et forts.
Philippe cherchait désespérément des solutions et pensait trouver de laide du côté de Christine et de Jean. Jai déjà parlé deux. Un couple libertin de la ville, organisateur de parties fines, de partouzes. Christine est une blonde plantureuse, avec de gros seins magnifiques. Comme moi, elle aimait shabiller court, se maquiller outrageusement, exhiber sa poitrine et ses cuisses, mettre en valeur un cul qui aurait fait bander un mort. Elle naimait rien de plus que de se faire prendre devant Jean et de lui fournir de jolies filles. Ces deux vicieux étaient complices et, avaient, depuis longtemps des visées sur moi. Jai raconté, lors de notre mariage, que Christine avait été mon témoin et quelle avait participé au complot qui mavait placé dans les bras de Pierre. Christine était profondément bisexuelle, elle préférait même les femmes. Elle avait tenté une approche lors de cette fameuse nuit, mais sans conclure.
Ce soir-là, Jean a découvert Christine en pleurs. Christine lui expliqua sa colère et sa frustration :
Toi, tu es jalouse et amoureuse dOlga
Je la veux, elle mobsède depuis la nuit de ses noces. Je nai jamais autant désiré une femme. Mais je veux aussi la partager avec toi, mon chéri. Je rêve que nous nous occupions delle tous les deux, que tu la sautes, pendant que je la gouine.
Elle a prouvé, le soir de ses noces, et avant de connaitre Philippe, sa véritable nature. Ce quil faut, cest la coincer. Cest une véritable chasse quil faut réussir.
Notre meilleur allié sera Philippe. Son rêve est de voir sa chérie se faire baiser devant lui. Elle se prétend une épouse sage. Aidons-le à faire dOlga une salope intégrale. Je vais dabord moccuper de Philippe et, ensemble, nous allons attirer notre jolie proie dans nos filets.
Loffensive de Christine sur Philippe
Christine avait compris la force des liens qui munissaient à Philippe. Contrairement à ce tentèrent de faire par la suite Flavienne, lancienne compagne de Philippe, puis Marie, qui a été ma pire ennemie et tenta de me prendre Philippe, puis Rachid, Christine avait moi pour objectif principal. Mais elle voulait me rendre jalouse, espérant que cela provoquerait une réaction en chaîne.
Christine mit toute sa science à faire du « rentre dedans » vis-à-vis de Philippe. Philippe a beau être amoureux fou de moi, il nest quun homme et finit par céder aux avances de la belle Christine.
Philippe a eu lhonnêteté de me le dire, avant que de bonnes âmes ne minforment.
Chérie, je tai toujours dit que tu étais libre. Libre de prendre un ou des amants. Je tais toujours encouragé, car je pense que cest ce dont tu as besoin. Je voulais te dire quen ce qui me concerne, Christine est ma maitresse.
Et moi je nai jamais dit que tu es libre, Philippe. Tu es à moi et à personne dautre !
Je suis à toi et rien quà toi. Cest toi que jaime, pas elle. Mais avec elle, je découvre un autre monde. La voir soffrir à des hommes devant moi, jadore. Même si je rêve que ce soit toi qui moffre ce plaisir, pas elle.
Je ne voulais plus rien entendre. Javais envie de le . Je me suis jetée sur Philippe, je lai giflé, frappé, griffé, puis déshabillé, avant de lui pratiquer une fellation qui a vite abouti à ce quil se vide dans ma bouche. Je nen avais pas fini avec lui et, harnachée de mon gode ceinture le plus long, je lai sodomisé sans ménagement, insensible à ses cris de douleur et excitée par ses gémissements de plaisir. Si javais pu, je laurais marqué au fer rouge pour que Christine sache que Philippe était à moi, à moi seule, ma propriété, mon objet sexuel et que personne ne me le prendrait et ne nous séparerait.
Poursuivant son plan, Christine monta dun cran. Elle fit en sorte que sa liaison soit publique. Elle tenait Philippe par la main, par lépaule, lembrassait fougueusement en public, y compris en présence de Jean, mais cela était dans les pratiques habituelles de ce couple. Lhistoire fit le tour de la ville, avec un nouveau scandale à la clé, un peu plus de trois ans après notre fameuse nuit de noces. Comme on me détestait, les commentaires étaient « la putain est cocue, bien fait pour elle », « ils vont bien ensemble ce Philippe et cette Olga », « Il a bien raison de se venger » « Quest-ce quil attend pour se débarrasser de la putain et la renvoyer dans son pays »
Jai résisté à la tentation daller demander des comptes à Christine, dajouter le scandale au scandale, dautant que je ne pouvais savoir quelles seraient mes limites.
Christine poursuivit sa manuvre en mettant dans la boucle Flavienne, lancienne compagne de Philippe et qui, seule depuis peu, ne rêvait et ne rêve que dune chose : reprendre lhomme quelle aime et quelle regrette davoir quitté. Lors dune soirée, alors que Philippe et Christine avaient disparu, Flavienne vint vers moi et me dit :
Décidément, tu nes pas digne de lui. Tu devrais disparaître de sa vie, car tu ne sais pas le rendre heureuse.
Tu peux parler, toi tu las quitté et aujourdhui tu regrettes. Moi, je ne le quitterai jamais. Il est à moi, tu entends, salope ?
Cest ce que tu crois ! Suis-moi, tu verras de plus près ce quil aime.
Nous sommes montées à létage, sommes entrées dans une pièce ou était installée une caméra.
Je me suis laissée dire que tu aimais visionner des films X. Tu vas être servie, la soirée ne fait que commencer.
Sur lécran, Philippe et Christine étaient nus. Christine, à genoux, lui taillait une pipe et, dun air de défi, regardait vers la caméra. Elle savait naturellement que jétais spectatrice.
Elle ne ta jamais fait une branlette espagnole, nest-ce pas ?
Non, Olga a de petits seins, bien fermes, si sensibles, mais ça, elle ne peut pas le faire. Allez Christine, prends tes nichons à pleines mains que je puisse goûter à une branlette espagnole.
Christine mit la queue de Philippe entre ses jolis seins bien fermes. Philippe se met donc à faire coulisser son sexe entre les seins de Christine. Elle commence par le branler doucement en faisant glisser sa verge entre ses nénés sur toute sa longueur, puis de plus en plus rapidement. Son sexe gonflait de plus en plus sous ses caresses. Ca le rendait fou. Puis elle avala son sexe, le faisant disparaitre entièrement dans sa gorge. Elle le suça longuement avant de s'empaler sur son sexe dans un râle de plaisir. Mais Philippe voulait se finir entre les gros seins de Christine. Olga était surprise : son homme, si tendre, si soumis avec elle, se comportait avec sa maîtresse comme un macho. Il navait aucune préoccupation du plaisir de Christine, ne la caressait pas, nemployait aucun mot tendre, au contraire, il la traitait de pute, de salope, de chienne. Christine navait jamais autant utilisé que ce soir sa poitrine de rêve pour procurer du plaisir à un homme. Plusieurs giclées de foutre vinrent s'écraser sur le visage de Christine.
Flavienne sattendait de ma part à une crise de rage, que je cherche à savoir où cela se passait, pour interrompre les amants, faire du scandale. Jétais jalouse, car javais rarement vu Philippe bander autant et avoir autant de plaisir. Mais en même temps, jétais fière de mon homme, rassurée sur son absence de sentiments. Christine était un objet sexuel pour lui, pas une rivale pour moi. Jaurais voulu être avec eux pour encourager Philippe et donner une leçon à cette petite putain. Je nous imaginais, dans nos jeux SM, que Philippe et moi la flagellions à tour de rôle. Sans aucune gêne vis-à-vis de Flavienne, jai commencé à me caresser les seins et le clito, pour calmer mon excitation, ajoutant « Cest beau, ça mexcite » Je me rendais compte que, dune certaine façon, jétais, moi aussi en train de devenir candauliste, prenant plaisir à voir mon homme avec une autre femme, dès lors quil néprouvait aucun sentiment pour elle.
Jai dit ensuite à Philippe que javais adoré le spectacle. Je nétais pas restée pour la suite, où dautres hommes avaient rejoint les amants, pour baiser Christine devant Philippe et satisfaire ses fantasmes candaulistes.
Je suis heureux mon Olga que tu comprennes et que tu ne men veux pas. Cest purement sexuel. Comme jaimerai que tu te joignes à nous. Que tu gouines Christine devant moi. Que tu mettes ma queue dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul.
Hum, je ne suis pas prête encore à aller jusque-là ! Mais jaurais plaisir à ce que, toi et moi, on soccupe delle dans une séance SM. Je voudrais quelle soit fouettée au sang !
Vicieuse ! Mais elle fera tout ce que je lui demanderai. Fais-moi plaisir, accepte leur invitation pour la crémaillère de la nouvelle maison de Jean et Christine. Ils insistent beaucoup !
Léchec de Jean
Cétait en fait le dernier étage du plan de Jean et Christine. Il fallait que je vienne chez eux. Ils étaient persuadés que Jean emporterait mes derniers scrupules et rêvaient déjà que tout cela ne se termine par une partie carrée : moi, Jean, Christine et Philippe. Et une apothéose, avec une partouze dont je serai la vedette.
Philippe avait dû insister longuement pour que jaccepte. Dune part, même si je voyais différemment sa liaison avec Christine, mon « instinct de propriété » navait pas disparu. Je connaissais la réputation du couple, comment se terminaient leur soirées mondaines et surtout que Jean rêvait depuis longtemps de maccrocher à son tableau de chasse. Une fois de plus, mon mari me livrait dans la gueule du loup. Jean avait été absent lors de notre mariage, alors quil aurait tant aimé jouer le rôle de Pierre, celui de mon premier adultère.
De guerre lasse, jai fini par céder
« Mais je te préviens, ne te fais aucune illusion, ils ne me toucheront ni elle, ni lui !
Comme je te lai toujours dit, tu es libre, mais tu sais ce que je veux pour toi »
Ce nétait pas tout. Philippe insista encore pour que je porte une robe quil mavait acheté récemment et que je navais encore jamais mise, et pour cause : elle était parfaitement indécente, au point de faire passer la fameuse robe de mon mariage comme celle dune jeune fille sage. Les bras et les épaules étaient nus, ainsi que le dos. Le décolleté était vertigineux et ne permettait pas le port dun soutien-gorge. Qui plus la robe mettait aussi en valeur mes jolies jambes, mes cuisses et mon cul. Bref, jallais faire sensation !
Il y avait beaucoup de monde à cette soirée. Manifestement, la venue des T et la perspective de voir Olga T (enfin) succomber, avait attiré du monde, certains hommes se disant quune fois que Jean aurait emporté la forteresse, ils pourraient en profiter à leur tour. Ces gens étaient venus pour partouzer, ça ne faisait pas lombre dun doute. A défaut dOlga, il y avait Christine, à qui une dizaine damants en une soirée ne faisaient pas peur.
Christine et Jean me firent fête :
Christine membrassa près de la bouche, ses mains sattardant sur mes seins et mes fesses :
Ma chérie, je suis si heureuse que tu ne men veux plus. Je nai jamais cherché à te prendre Philippe, il naime que toi. Javoue que je voulais te rendre jalouse. Philippe ma dit que tu as beaucoup aimé le petit film.
Jai adoré ça.
Jaimerais tant que tu participes. Tu pourras me faire tout ce que tu aimes, sans tabous, je serai à toi. Pour te dire la vérité, cest toi que je veux. Je sais que tu as besoin des caresses dune femme, quon te bouffe la chatoune.
Pierre fut plus subtil, sans cacher ses objectifs.
Cest un honneur daccueillir la fameuse Olga, lépouse de notre ami Philippe.
Et vous le mari de la maitresse de Philippe
En effet. Mais faites comme moi, je ne suis pas jaloux, je suis heureux quand Christine samuse et quelle a du plaisir. Elle et votre mari sentendent bien sur le plan sexuel et ont une obsession commune : vous. Entre Christine et Philippe rien de sentimental, cest purement sexuel, même sil a des pratiques très hard avec elle.
Vraiment ?
Oui, lautre soir, quand elle est rentrée, elle avait le dos en sang, il lavait fouetté. Jamais elle na fait ça avec moi.
Si elle est consentante et quelle aime ça !
Je pensais en moi-même : « ça lui fait le plus grand bien à cette salope. Attends si elle me tombe entre les mains, tu verras dans quel état je te la rends »
Jajoute que vous êtes ravissante, chère Olga et cette robe incroyable met en valeur votre beauté
Un cadeau de mon Philippe, qui adore mettre en valeur sa chérie. Je pense que cette tenue va faire de leffet chez les invités de votre soirée, si jen juge daprès ton état !
Je métais mise à le tutoyer, lui adressant mon plus grand sourire. Il me prit dans ses bras, pour me faire une bise sur les joues, mais en profita pour me faire sentir une érection déjà conséquente. Trop tentée, je posais une main sur la braguette de mon hôte et ajoutais, à voix basse :
« Pas mal du tout. Je parlais du salon bien entendu
Evidemment ! Christine, présente Philippe et Olga à nos invités, je reste pour accueillir ceux qui doivent encore arriver
Viens chéri, dis-je à Philippe. Je vais faire en sorte que tous ces mâles voient bien les charmes de ton épouse, ça devrait les mettre en forme avec leurs compagnes ou pour baiser Christine tout à lheure.
Il ne tient quà toi de me voler la vedette ce soir, dit Christine.
Et en effet les invités se sont bien rincé lil, la fameuse robe ne cachant guère les parties les plus intéressantes de mon anatomie, tout particulièrement mes seins. Jai même fait remarquer à un de ces Messieurs
« Cher Monsieur, je vois que ça vous plait beaucoup. Sauf à faire tomber ma robe, je ne peux pas en montrer davantage !
Vous ne croyez pas si bien dire. Cest ce que tout le monde attend. Il y aura ce soir un concours de la plus belle salope entre Christine et toi.
La soirée se poursuivait. Philippe ne se faisait pas prier pour expliquer sa conception du candaulisme. Christine se comportait avec lui comme une chienne en chaleur, alors que de mon côté je devais faire face à des gestes de plus en plus déplacées, des paroles sans ambigüité, des mains baladeuses.
Jean donna le signal :
Christine, si tu faisais visiter le haut à Philippe, moi je ferai la même chose avec Olga. Nos amis nous rejoindront ensuite
Oui quand ils entendront le signal
Le signal ? Dis-je
Oui tes cris de plaisir et les miens. Tout le monde est daccord pour, quen tant quhôtes, nous ayons une priorité. Nous avons toute la nuit devant nous.
Nous sommes allés à létage. Il y avait deux grandes pièces, où les meubles avaient été retirés, les sols couverts par de magnifiques tapis de Perse. Ces pièces avaient été aménagées pour une partouze. Seuls des coussins apportaient un élément de confort. Sur de petites tables, il y avait des boites de préservatifs et des lubrifiants.
Christine fit tomber sa robe. Nue, elle sapprocha de moi, moffrit ses lèvres. Je répondis à son baiser.
Quand nous serons rassasiées de mâles, je finirai la nuit avec toi. Tu vas enfin connaître ce plaisir dont tu prives stupidement depuis si longtemps. Profites-en bien. Tu vas commencer avec mon Jean, réputé comme un des meilleurs baiseurs de notre ville.
Elle prit Philippe par la main et alla vers une des deux immenses pièces, laissant lautre à Jean et à moi.
A ce moment-là, jétais fatiguée, je ne voulais plus lutter et jétais prête à me laisser aller.
Olga, je tai vue la première fois il y a près de 7 ans, quand Philippe a fait ta connaissance. Depuis ce jour, jai envie de toi.
Il me prit dans ses bras et nous échangeâmes un long et chaud baiser. Il fit tomber ma robe. Jétais nue, offerte. Sil était passé à laction tout de suite, il avait partie gagnée. Je voulais être baisée tout de suite, comme la chienne que jétais à ce moment-là.
Au lieu de ça, il se mit à faire de longs préliminaires, me couvrant de caresses et de baisers. Ce nest pas ça que jattendais de ce mâle. Il navait pas compris que je ne cherchais que du sexe brut, une saillie, sachant que ce serait le début dune nuit qui me ferait définitivement basculer, vu le nombre de mâles qui attendaient leur tour au rez-de-chaussée.
Jean sortit sa queue, une belle pièce, même si elle restait inférieure à celle de beaucoup de mes amants, à commencer par mes deux dernières expériences, avec Pierre puis avec Georges le concierge.
A genoux ! Suce, salope !
Je m'approchai de lui et passa le doigt sur son gland que je sentis frémir. Je m'agenouillais et léchais son gland. Je fis tournoyer ma langue autour de son gland pendant que je lui caressais les couilles. Je lui mordillais légèrement son gland ce qui le fit frémir. Je donnais ensuite des petits coups de langues rapides sur son frein puis autour de sa couronne. Je lui léchais la queue de bas en haut doucement. Je le sentis soupirer de plaisir, prenant appui sur le lit et savourant ma langue frétillante sur sa queue tendue de désir. Je léchais ses couilles et les prit en bouche pour les aspirer et les sucer. Ma langue tournoyait autour de ses boules pendant que je les aspirais d'un mouvement de succion. Je fis à nouveau entrer dans ma bouche son gland et je le pompais. Il gémissait de plus en plus et son corps tremblait. Je continuais à le sucer en jouant avec mes lèvres sur toute la surface de son gland violacé de désir. Je le pris un peu plus en bouche, commençant des mouvements de va-et-vient lents et savoureux. Jean était en pleine extase, la tête en arrière, savourant ce plaisir buccal. Je continuai ainsi, accélérant la cadence, désirant le faire jouir intensément. Pendant que je le pompais, je massai ses couilles. Je gobe son engin lentement, remonte et joue avec le gland, m'attarde sur le frein puis redescend alternant les allers-retours plus ou moins rapides. Il semble apprécié si j'en crois le gonflement de son gland et les soupirs qu'il pousse. -
Il craqua et finit par jouir dans ma bouche, crachant son fluide dans ma bouche tout en poussant un cri de plaisir. Son sperme chaud frappa le fond de ma gorge et je me fis un plaisir de l'avaler jusqu'à la dernière goutte.
Cest à ce moment-là que tout bascule.
Je suis désolé, je ne sais pas ce qui ma pris, je ne voulais pas jouir si vite, je voulais te prendre. Mais là, il va falloir patienter un peu.
Jétais stupéfaite et furieuse. Le mâle à qui on avait voulu moffrir avait été victime de son excitation et avait fait de léjaculation précoce. Il avait joui rapidement dans ma bouche, sans prévenir. Certes, jaime avaler du foutre, mais à condition que je lai décidé et que mon amant ait des réserves pour continuer. Là, ce nétait pas le cas et Jean le partouzeur avait une défaillance inattendue. Il avait fait une « contre-performance » Jamais je navais connu ça, y compris avec Philippe.
Attendre, tu plaisantes ? Jattends depuis des années et je tombe sur un éjaculateur précoce, incapable de se retenir alors quil sagissait de me baiser, que je nattendais que ça ? Je suis désolée, mais comme on dit « lhistoire ne repasse pas les plats ». Je ne serai pas à toi, pas plus quà tes invités à qui tu mas offerte par avance. Ta réputation de baiseur en prend un sacré coup ce soir.
Je ramassais ma robe pour la remettre.
Attends, Olga. Ne fais pas ça. Tu me ridiculises devant mes amis. Tu nes quune putain et une allumeuse.
Comme je ne me laissais pas attendrir, il changea de méthode. Mattrapant par le bras, il me décocha une violente gifle et me tordit le bras. Il ny était pas allé avec le dos de la cuillère, un filet de sang coulait de mon nez. Il déchira ma robe et me jeta à terre
Je vais te forcer, salope, tu ne ten sortiras pas comme ça ! Tu vas toccuper de moi, pour que je rebande et vite !
Je commençais à le masturber mais je ne pensais quà men aller. Mon excitation était complétement retombée. Ni lui, ni aucun de ses amis ne mauraient.
Il baissait sa garde, pensant quil avait gagné. Je me mis à tordre violement ses couilles. Il hurla de douleur et magonit dinjures. Je me précipitais hors de la pièce et entrais dans lautre chambre pour récupérer Philippe, qui était en train denculer Christine. Je le pris par la main :
Désolée de vous interrompre, mais on part et tout de suite. Ne discute pas Philippe, obéis si tu maimes !
Philippe comprit quil ne devait pas discuter
Que sest-il passé, dit Christine ?
Demande à ton éjaculateur précoce de mari qui sest vidé dans ma bouche comme un ado boutonneux et qui ensuite à voulu compenser par la violence. Il ne maura pas, et aucun de ses amis non plus.
Mais chérie, tu vas sortir comme ça, nue ?
Et alors, on est en voiture. Les autres automobilistes pourront se rincer lil. Tu aimes bien mexhiber, non ?
Jean apparut alors, se tenant lentrejambe.
Cette allumeuse ma presque mutilé. Elle est folle ! Laisses les partir chérie ! Un jour, elle sera à nous et crois-moi, elle aura alors un traitement spécial !
Notre départ précipité fit sensation. Je najoutais pas à lhumiliation de Jean en donnant des détails, me contentant de les renvoyer vers les explications de leurs hôtes.
Jean leur expliqua que je métais laissée embrasser et déshabiller, puis que je lavais repoussée alors quil sapprêtait à conclure.
Cette tentative, qui échouait lamentablement, ne faisait qualimenter ma mauvaise réputation, celle dune exhibitionniste allumeuse. Ma frustration était à son paroxysme, même si je me félicitais, a posteriori, davoir au dernier moment repris mes esprits. On se rassure comme on peut !
Bien évidemment, nos relations sociales, qui nétaient pas brillantes, en furent très affectés et nous étions, cest bien le moins, en froid, avec Jean et Christine.
Quant à Philippe, il restait persuadé que cétait un incident de parcours, dont la responsabilité incombait à Jean. Cela ne changeait rien à sa conviction que le candaulisme était indispensable pour une hypersexuelle comme moi, qui ne pouvait continuer à rejeter sa nature. Mais en même temps, il désespérait de parvenir à me convaincre.
Javais besoin de changer dair. Je me suis décidée à participer, en ce mois de mars 2007, à un voyage organisé à Rio de Janeiro. Philippe, toujours aussi occupé, ne pouvait maccompagner. Cest ce voyage qui fut une étape décisive dans ma transformation. (à suivre : « adultère tropical »)
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